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Continuer d’y croire… réception de Monteux dimanche
Actualité Seniors
„Jedermann will in den Himmel gehen, aber niemand will sterben“ dit un proverbe allemand (Tout le monde veut aller au ciel mais personne en veut mourir). C’est vrai, il faut être fou pour vouloir mourir sachant que rien n’est moins sûr que le ciel, mais laissons à chacun ses craintes et ses croyances. Bref, dimanche dernier, à Jacou, ceux qui ne voulaient pas mourir, traduire redescendre en honneur, avaient plus de ressort que ceux qui voyaient le ciel au travers d’une qualification. Les privadois se sont « emmêlés les pinceaux », et sont rentrés défaits mais avec le bonus défensif.
Dans cette poule tout est devenu compliqué. Des leaders « passent à côté », des équipes menacées de relégation se battent avec l’énergie du désespoir et parfois à la limite de l’esprit sportif. Une équipe qui nous avaient impressionnées, Vendres, a perdu dimanche dernier, à domicile, contre Palavas. Se risquer, aujourd’hui, à des prévisions est bien aléatoire. Nous tenterons malgré tout l’exercice.
Dans une boule de cristal, j’ai vu…
Certes le maintien est assuré, mais on peut rêver un peu. Notre fin de période de matches « retour » est plus facile : dimanche prochain nous recevons Monteux, club classé dernier. Simultanément, Palavas reçoit Montélimar, vainqueur à Pézenas, on peut envisager, et pourquoi-pas espérer, une victoire drômoise qui nous arrangerait. Le Pontet, vainqueur à Uzès, reçoit Vendres ; voici une rencontre bien incertaine qui nous intéresse, une défaite de Vendres !…
Y croire jusqu’au bout
Dans les situations difficiles, ou incertaines, c’est celui qui se relâche le premier qui perd. D’autres que nous peuvent « passer à travers ». Certes le déplacement à Uzès sera compliqué, mais l’hypothèse de jouer la qualification contre Vendres à Privas lors du dernier match ne doit pas être écartée. Alors dimanche prochain, réalisons un très bon match contre Monteux, ne méprisons pas l’adversaire, allons à Uzès comme si nous jouions une relégation, ne lâchons rien…comme toujours, et qui sait ?
